Papyrus interactif… Trois soeurs
Marie-Jeanne avait trois filles.
A l’aînée, il manquait la beauté.
A la benjamine, il manquait la santé.
La cadette avait tout hérité.
Je vous invite à poursuivre ce papyrus chez vous, si le thème vous inspire… vous pouvez choisir le point de vue de Marie-Jeanne, de l’aînée, de la benjamine ou de la cadette, ou tout à la fois… je suis curieuse de vous lire.
Mon papyrus à moi continue ici (attention, affichage logique et non chronologique, suivre les liens ou la liste des notes récentes ci-contre à gauche pour voir où j’en suis…)
Mandala totems
Avec un petit clin d’oeil pour encourager Vero à continuer d’alimenter son blog Sourires
Mon arbre fétiche – l’olivier "De la famille des oléacées, l’olivier a pour origine le mot latin "oliva". D’une croissance lente, c’est un arbre des pays chaud qui pousse dans un sol pauvre et arride. Face aux caprices du climat, il se montre d’une resistance incroyable. Il peut survivre aux hivers les plus rigoureux, comme aux étés les plus chauds. Attention, l’olivier aime l’eau, mais un sol saturé d’eau peut causer sa mort. C’est l’un des arbres les plus vieux du monde. En raison de son extraordinaire longévité (ont le dit "immortel"), l’olivier est, pour les cultures anciennes, un arbre chargé de symboles et de mysticisme. Omniprésent dans la mythologie grecque où il était associé à la vie éternelle, les grecs en ont fait un symbole de sagesse et de fécondité. Il était aussi l’emblème de la victoire lors des jeux olympiques. Dans la tradition islamique, l’olivier était le symbole de l’homme universel. En inde, il est l’arbre de la pacification. Les chrétiens, quant à eux, le considère comme un symbole de pureté et d’immortalité. Dans l’antiquité, il fut un symbole de paix." Les animaux qui me ressemblent – le renard et… le corbeau (tiens donc, où est le fromage dans l’histoire? lol) |
LE |
![]() |
Which animal totem best suits you? |
You scored as Fox, You are the Fox. You are quite intelligent and use it to your advantage. You are a diplomatic person and use that to help your friends in times of crisis, not choosing sides. You are also very patient, waiting for what you want.
You scored as a Crow |
You are the Crow. You are able to discover your own character and help others find themselves as well. You are very creative in the field you are in and tend to be the intelligent one of the bunch. |
Adulte ou maturescent?
"Le long chemin pour devenir adulte" dans le dernier Psychologies Magazine m’a interpellée. Dans cet entretien avec les philosophes P.H. Tavaillot et E. Deschavanne, il est proposé de demander autour de vous "quand êtes-vous devenu adulte?" pour s’étonner de la diversité des réponses. En effet, ce passage n’est plus clairement identifié dans notre société en mutation, les anciens rites étant en perte de vitesse (service militaire, mariage…) et l’âge adulte étant désacralisé (l’adulte est celui qui n’a pas le temps, celui qui est enfermé dans ses obligations professionnelles et familiales, etc: être jeune ou retraité, c’est vachement plus cool!).
Du coup, chacun se forge sa propre idée, très individuelle, de ce qui qualifie son passage à l’âge adulte. Je suppose qu’on projette donc désormais dans sa réponse à la question "quand êtes-vous devenu adulte?" ses propres idéaux, ses valeurs les plus profondes, plutôt que le modèle caricatural du mari-père-soldat-citoyen (!) que notre société a en parti effacé.
En lisant l’article, je me suis rendu compte que je ne m’étais jamais posé cette question moi-même!
Et la réponse n’est pas simple.
Je serais quand même tentée, dans un premier élan, de répondre que je suis passée dans "l’ère adulte" l’année de mes 20 ans pour tout un tas de raisons.
Scientifiquement, j’ai arrêté ma croissance osseuse dans ma 20ème année en culminant à 1638mm de hauteur (dont j’ai déjà perdu une bonne poignée depuis!). J’aimerais bien pouvoir dire que j’ai atteint mon poids adulte aussi, mais cela voudrait dire que j’en ai 10% en excès aujourd’hui, donc, passons sur ce point, je devais sûrement être trop maigre
Sociologiquement, l’été de mes 20 ans, j’ai touché mon premier salaire, intégralement dépensé dans mon premier gros achat (une chaîne hifi avec lecteur CD! que j’ai toujours aujourd’hui, mais en annexe), et j’ai spécialisé ma branche d’études techniques (sur laquelle je vis toujours aujourd’hui).
Enfin, psychologiquement, cette année-là j’ai commencé à vivre avec mon premier copain sérieux (avec lequel je vis toujours aujourd’hui, ben oui je suis du genre casanière lol), et j’ai clarifié mes croyances, valeurs, idéaux de vie, et systèmes de pensées (sur lesquels, encore une fois, je vis toujours aujourd’hui!).
Malgré tout, cette simplicité de réponse et la stabilité qu’elle indique est certainement trompeuse. La notion de "maturescence" décrite dans l’article comme une évolution permanente de l’être adulte vers l’idéal adulte est tout-à-fait pertinente pour moi. L’idéal adulte, c’est la combinaison de 3 facteurs: l’expérience, la responsabilité, l’authencité. Et cela, à 20 ans, je commençais à peine à y tremper les orteils! j’ai bien passé les 15 dernières années à faire des vocalises en terme d’expérience et de responsabilités (professionnelles, familiales) et je ne suis pas sûre encore de savoir vraiment chanter encore, mais disons que je vocalise sans trop de peine désormais, et c’est donc surtout sur l’authenticité (rapport à soi) que je travaille à présent.
D’une certaine manière, cet article m’aide à répondre à la question que je posais ici voilà quelques mois: c’est quoi devenir sage? eh bien, pour commencer, maturons, maturons…
Au fait, et vous? vous sentez-vous adultes?
Depuis quand, et pourquoi?
J’ose pas y croire…
Ben voilà, je vais changer de chef.
Comme en 2004, je n’ai rien vu venir. Pourtant j’avais bien développé mes réseaux d’information internes, mais rien n’a filtré. Rétrospectivement, je comprends beaucoup mieux bien des petites phrases et l’environnement sclérosé dans lequel je me cognais de plus en plus, tout ce qui traînait désespérément sans raison, et surtout, au paroxysme de fin juin, cette impression d’être laissée bien seule à tirer mes projets et ma petite équipe. Il me semblait surtout être la dernière à avoir encore assez d’énergie pour essayer de faire bouger les choses, au point de me faire traiter d’idéaliste par des collègues plus pragmatiques, désabusés et résignés depuis longtemps…
Et voilà, j’osais plus y croire, mais… tout ce que j’avais espéré, en vain, voir se mettre en place il y a 3 ans me tombe dessus, apparemment!
Jusqu’à hier, j’ai pas voulu y croire encore. J’avais encore trop dans le ventre un noeud d’humiliation d’avoir mendié à ce New Boss justement, en vain, une place dans son organisation toute pimpante d’il y a 3 ans: le "grrr" dans ma note de souvenirs d’il y a quelques mois, c’était lui! Là encore, c’est après coup que je réalise combien cette émotion était restée coincée en moi (bon j’avais quand même exprimé un grrrr ici – lol), au point que j’étais incapable de me comporter naturellement avec lui, toujours sur mes gardes et mal à l’aise (grrrr!). Alors, comme en 2004, j’ai de nouveau passé de mauvaises nuits ces derniers temps, me réveillant en milieu de nuit pour un cycle d’insomnie, comme souvent les anxieux (brrrrr….).
Depuis 2 semaines, j’ai tourné et retourné dans ma tête tous les scénarios.
Mais aussi, j’osais pas y croire, mais depuis 2004, j’ai évolué. J’ai repris confiance en moi grâce à diverses réalisations professionnelles, et j’ai aussi progressé sur un plan plus personnel. Je sais mieux trouver en moi cette source d’énergie qui irradie, qui fait qu’on se sent infiniment vivant, et surtout je sais mieux la ré-alimenter. Au point que j’ai maintenant souvent l’impression de déborder de créativité et de motivation. Au point même de commencer à oser essayer de les transmettre aux autres, mais ceci sera mon prochain défi.
J’ai fait un rêve surprenant justement ma dernière nuit de réflexion avant mon premier entretien. C’était un rêve mélange de visions et d’émotions, extrêmement difficile à verbaliser et à rassembler à mon réveil; je n’ai pu qu’en saisir quelques bribes dans mon cahier. Mais il m’a remplie de courage, et toujours de cette formidable énergie…
Alors je suis allée à l’entretien avec New Boss et là, vraiment, j’osais pas y croire. Motivant et à l’écoute. Au fur et à mesure qu’il me parlait et répondait à mes questions, je me suis détendue et je me suis jetée à l’eau. Je lui dit quels étaient mes objectifs d’évolution. A ma grande surprise, il était visiblement dans une position d’écoute et d’ouverture que je ne lui connaissais pas. Il m’a proposé d’avancer dans cette direction, entièrement libre, en lui faisant une proposition, et indépendamment de cela, il m’a aussi demandé de l’aider à compléter sa liste d’objectifs pour son nouveau département sur la base de mon expérience actuelle.
Je suis sortie, je suis allée dans l’escalier, j’ai fait des bonds de joie, jusqu’à ce que je me rappelle que j’étais sans doute sous vidéo-surveillance. Ce serait dommage de me faire interner pour cause d’euphorie passagère alors que les opportunités que j’osais à peine espérer se présentent tout-à-coup VRAIMENT et sans effort de ma part!
Confiance, écoute, collaboration, motivation – je n’osais pas encore y croire. Mais à ma grande surprise, New Boss a proposé de parler aussi à mes autres collègues et équipiers en transit, afin de répondre à leurs questions dans la foulée. Cette deuxième séance a apporté encore des promesses qui n’ont sans doute pas vocation à être entièrement satisfaites, mais tout cela est néanmoins un tel changement que je suis encore sortie de là tout excitée. Deux mots surtout que j’ai retenus dans son credo, et qui vont être son défi à mon avis – ouverture et innovation. A suivre.
Mais j’ose toujours pas y croire… il me faut maintenant formuler mes objectifs d’évolution en une proposition concrète et structurée… et revenir sur terre. Heureusement, ma bonne étoile m’avait déjà conduite à me préparer, et je viens d’en retrouver le clin d’oeil dans ma météo couleur…
Météo couleur
Curieuse du succès que ce petit jeu de cartes rencontre sur certains de nos psychoblogs, je me suis amusée avec depuis environ un mois. Et je suis intriguée. Vraiment intriguée. Pour ma part, je vais continuer à faire mes expériences mais d’une manière plus rigoureuse, en notant systématiquement mon état d’esprit avant le test, la position des cartes choisies (j’ai déjà testé qu’elle n’est pas fixe) et mon tirage effectif pour vérifier s’il y a bien une corrélation anormale.
Je suis en plein chamboulement professionnel, ce qui m’a complètement bousculée ces derniers jours. Les faits feront l’objet de ma prochaine note, déjà rédigée mais en cours de contrôle (j’ai la prudence de la garder assez floue pour préserver mon anonymat). Mais, en attendant les détails, en m’amusant à tirer ma météo couleur aujourd’hui après avoir longuement médité sur la nouvelle situation, voici ce que j’ai obtenu et qui correspond étonnamment à ce qui me bouleverse en ce moment…
Cette couleur raconte ce que vous êtes en train de vivre en ce moment. Elle précise ce qui se passe et la façon dont vous le gérez.
Turquoise lumière
Vous êtes en train de guérir. C’est un miracle. Ce que vous avez toujours souhaité est en train de se manifester, la situation bloquée se libère. Votre polarité manquante arrive. Vous êtes habité par une force inhabituelle qui vous procure un changement de niveau de conscience. Votre coeur déborde, vous êtes animé d’intention pure, prêt à donner votre amour au monde sans besoin que cela ne se sache. Vous préoccupation se tourne vers la planète, son écosystème, sa survie et vous êtes prêt à veiller pour que l’homme y prenne sa place sans nuire à l’évolution des espèces.
Cette couleur vous informe des moyens qui sont à votre disposition et ce que la vie vous recommande de saisir comme circonstance favorable en ce moment.
Violet Naissant lumière
Vous avez l’occasion de mettre en pratique un sujet qui vous tient à coeur dont vous avez acquis les connaissances théoriques en allant à l’école. Quelle aubaine ! Voulez-vous passer à la pratique ! Passés les premiers jours de tâtonnements, vous allez petit à petit acquérir l’entraînement qui vous manque pour devenir, inévitablement avec le temps, maître en la matière. Qui ne risque rien ne peut prétendre espérer du meilleur ! On ne vous demande pas d’être perfectionniste mais de suivre les étapes de la voie d’apprentissage d’une discipline de vous ouvrir à recevoir l’enseignement du maître qui le dispense. Et du coup, de guérir votre relation au père, à la notion de hierarchie !
Histoire de tao à la pause thé
Premier lundi de juillet, J-5 avant une semaine de vacances. Le journée, que dis-je, la semaine, commence sur les chapeaux de roue, mais au milieu de toute cette agitation, un appel de ma collègue parisienne, Johanna.
Depuis la naissance de son cadet, elle se déplace rarement en Suisse, et l’étude complexe que nous avions défrichée ensemble dans une super équipe transversale montée il y a quelques années a été reprise par des seniors dédiés, nous renvoyant chacune de son côté au train-train de nos départements respectifs. Et je n’ai pas eu le temps d’aller la voir lors de mes derniers passages aux bureaux de Paris, alors cette fois, tant pis, je partirai un peu plus tard pour finir de traiter mes urgences, mais il faut absolument que je la voie!
Trop tard pour un café cet après-midi là, mais nous allons quand même boire un thé vert pour moi, un verre d’eau pour elle, à la k’fet. Nous discutons de nos activités en cours, désormais sur des projets différents dans nos départements respectifs, et je lui explique ma dernière expérience d’animation de groupe que j’ai faite à notre séminaire de département, sur la base de ma formation en cours. Elle rebondit aussitôt, suivant par elle-même les nouvelles méthodes en vogue dans la capitale française, et me parle d’une nouvelle technique utilisée dans les entreprises pour mieux tirer parti du capital humain, dérivée du "jeu du tao". Je lui demande si c’est lié au yi-king, le livre des changements, qui peut être utile pour mener d’un questionnement ouvert à la résolution de problèmes. Elle n’est pas certaine, mais je peux aller voir moi-même, le lien qu’elle m’énonce est facile à retenir: www.taovillage.com.
Je vais jeter un oeil une ou deux soirées plus tard… quel cadeau!
Il y a en effet, comme je l’avais supposé, un lien avec le yi king, le site proposant même un tirage automatisé, mais surtout, quantité de pages à explorer avec tout questionnement existentiel fondamental, ou même sans, juste pour visiter les hyperliens qui valent un détour de lecture – trésors cachés: la visite du labyrinthe des sagesses commence ici…
Merci Johanna!
Le bâton de pluie et autres nouvelles
Rude journée aujourd’hui. Et ici, tout-à-coup, des notes qui me parlent sur vos blogs, envie de rebondir, mais pas le temps. Je reviens mi-juillet après avoir déposé mes puces à la plage pour un mois, et après une avant-cure de cure de sommeil et de bons petits soins chez Maman, qui m’a préparé sa bibliothèque de bouquins sur le do-in pour l’heure de la sieste, histoire de me retaper les méridiens du foie et du poumon en respirant l’odeur des algues après un plat de langoustines. Vu ce que j’ai appris aujourd’hui, j’en aurai bien besoin pour préparer le prochain cap professionnel, puisque je dois changer de chef d’ici à septembre. Mais chaque chose en son temps…
Alors juste une petite note légère… depuis hier, des trombes d’eau s’abattent sur ma région. La route entre Evian et la frontière suisse a été coupée à cause de glissements de terrain qui se sont également produits au-dessus de Vevey. Les pompiers sont en alerte pour inondations en tout genre, et toutes sortes d’experts jaune fluo dépêchés par les services communaux se sont relayés tout l’après-midi pour curer une canalisation de ruisseau devenu torrent puis mare, menaçant la route qui descend de nos pistes de ski au village.
Mais ce que les médias suisses romands ont omis d’expliquer, c’est que l’origine de ce désordre pourrait fort bien venir de l’initiative, pourtant fort sympathique dans son intention d’origine, d’une maîtresse de bricolage passionnée de beaux objets artisanaux aux propriétés quelque-peu magiques.
Car après avoir ramé dans les trombes d’eau qui transformaient nos autoroutes en piscines hier soir, savez-vous ce que j’ai trouvé à la maison, comme, au minimum, les 25 autres mamans et papas de la classe de Lili?
Un bâton de pluie.
Magnifique objet je dois dire: long cylindre de bois décoré de 100 clous, aux propriétés sonores diluviennes absolument indéniables. Fièrement rapporté par ma puce, avec, bien entendu, moultes démonstrations de ses propriétés, y compris par la petite soeur ravie de ce nouveau jouet musical.
Bref, 26 bâtons de pluie dans les Préalpes, et c’est le déluge!
Merci Lili
PS: toute dénonciation serait particulièrement malvenue, car je doute que les assurances RC des différents protagonistes suffisent à couvrir les dégâts survenus dans la région suite à cette malheureuse expérience. Mais pour consoler tout le monde, nous avons eu le droit aujourd’hui aux arc-en-ciel les plus fantastiques que j’ai jamais vus (confirmé par mon daltonien de Mari Charmant, c’est dire!)
Bonnes vacances, avec ou sans soleil!
Prophéties des andes – énergies
Je continue donc, depuis avril, de progresser dans plusieurs lectures en parallèle, à mon rythme: par à -coups.
Les chapitres suivants de la prophétie des andes sur l’énergie, révélations 3 à 5, n’amenaient pas grand-chose de nouveau par rapport à mes autres lectures, voire mon expérience.
C’est ma mère qui m’a parlé la première du Qi Gong. Elle avait découvert cette activité grâce à une émission radio, et elle s’était procuré un livre sur le sujet pour s’initier par elle-même. Elle m’a expliqué qu’elle était tout étonnée d’avoir senti effectivement l’énergie dans les bras et les mains, très rapidement. Elle m’a offert le même livre, et j’en ai rapidement trouvé un autre plus illustré que je lui ai d’ailleurs prêté depuis.
J’ai alors fait quelques expériences intéressantes de mon côté et surtout commencer à butiner à différentes sources; médecines énergétiques: réflexologie, shiatsu; journées découvertes de qi gong, taï qi et yoga; et différentes lectures (je ne sais pas qui fournit la petite bibliothèque locale, mais j’y croise sans cesse un essai utile à ma réflexion!).
Tout cela m’a rapidement amenée à m’étonner des liens sous-jacents entre toutes ces disciplines qui s’appuient pourtant sur des concepts plus ou moins farfelus pour un bon esprit matérialiste occidental, ce qui correspond à ma formation, à défaut de mon intuition/de mes aspirations. Inversement, cela m’a amenée aussi à observer sous un autre jour les rituels de la religion catholique dans laquelle j’ai grandi. DIversités de cultures, diversités d’approche, mais au fond, il semble rester une histoire étonnamment commune d’énergie, force, ou esprit. Même dans Star Wars – extraordinaire Maître Yoda!
Je dis une "histoire" car je n’ai pour l’instant trouvé aucune preuve qu’il s’agit d’autre chose qu’une illusion de notre imagination, y compris dans ma propre expérience. Mais, si j’ai les pieds bien ancrés sur terre, j’ai aussi une âme de poète (un peu), et je me prends à rêver de ces histoires pour me changer les idées…
Peut-être aussi pour recharger mes batteries.
J’ai retrouvé dans mes notes d’il y a 15 ans une étrange remarque que j’avais capturée sur le papier sans bien en capter le sens alors: une religieuse, amie de ma grand-mère, lui avait confié que je dépensais plus d’énergie que je n’en avais.
Curieux pour moi de relire cette note aujourd’hui avec la perspective de mes nouvelles connaissances, qui sont, pour l’aspect spirituel, résumées dans le livre de James Redfield (révélations 3 à 5):
- toutes les choses vivantes ont des champs d’énergie.
- les gens essaient de voler l’énergie d’autrui, créant des conflits.
- il existe d’autres sources d’énergie auxquelles s’alimenter.
En conclusion: que la Force soit avec vous! (et un peu avec moi, aussi, au passage – allez, y’en aura pour tout le monde – lol!)